Les élèves d'accompagnement personnalisé impliqués dans le projet "découverte de la recherche scientifique " sont retournés à l'Université des Sciences de Genève le 26 mars pour mener une série d'expériences afin d'analyser leur ADN.
Ils ont extrait leur ADN à partir de leurs cellules buccales, puis ils l'ont amplifié par PCR dans le but de comprendre s'ils sont ou non génétiquement disposés à ressentir la sensation amère par les bourgeons du goût de leur langue. Complexe ? Non. Bientôt des explications éclairées par les bioreporters ayant fait office de cobayes pour l'occasion...
Etape 1 : écouter les consignes. Etape 2 : rester bien concentré.
Etape 3 : prélever des cellules. Etape 4 : pipetter, faire le bon mélange...
Etape 5 : encore pipetter, mélanger, centrifuger pour extraire l'ADN. Avec le sourire !
Etape 6 : placer l'ADN extrait dans la machine à PCR pour en obtenir de grandes quantités.
Etape 7 : digérer l'ADN par l'enzyme de restriction adéquate. Suivre le protocole.
Etape 8 : déposer l'ADN digéré sur un gel pour une électrophorèse.
Etape 9 : lancer la migration de l'ADN. Etape 10 : tester la sensibilité à l'amer.
Etape 11 : Vérifier que son profil génétique correspond à sa sensibilité à l'amer.
Vanessa, Marina, Océane, Alexandre, Loïc et Mathieu sont-ils homozygotes ou hétérozygotes? Leur profil génétique est-il en adéquation avec leur phénotype?
Vous le saurez prochainement. Suspense insoutenable...
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